В том, что брак Себастьяна Лараби и Никки Никовски распался, не было ничего удивительного. У аристократичного, прекрасно образованного Себастьяна и взбалмошной, не обращающей внимания на условности Никки не было ничего общего. Лишь одно их объединяло: оба обожали своих детей, близнецов Джереми и Камиллу.
Когда Джереми исчез, они забыли о семи годах «холодной войны», о взаимных обидах и претензиях. Теперь они снова пара и не остановятся ни перед чем, чтобы спасти своего ребенка.
Ее излюбленным оружием был юмор, с его помощью она справлялась с самыми тяжкими испытаниями. Юмор был ее второй натурой.
Il doit exister quelque part une liste secrète que les ados se refilent entre eux. Une compilation de toutes les âneries possibles et imaginables à faire pour contrarier leurs parents.
Le monde d’aujourd’hui était trop brutal et dangereux pour les rêveurs et les idéalistes. Comment pouvait-on y survivre sans une bonne dose de cynisme, de roublardise et de dureté ?
Faire voler un appareil de cinq cents tonnes ne lui avait jamais paru naturel. (...) Par-dessus tout, dès qu’elle pénétrait dans un avion, elle avait l’impression d’abdiquer toute liberté, de n’avoir plus aucun contrôle de la situation. Alors que la vie lui avait appris à ne compter que sur elle-même, elle ne supportait pas de s’en remettre à un pilote inconnu et invisible.
Les seuls moments importants d’une vie sont ceux dont on se souvient.
Les femmes tombent amoureuses quand elles commencent à vous connaître.
Pour les hommes, c’est exactement l’inverse : quand ils finissent par vous connaître, ils sont prêts à vous quitter.
Le temps, il le sait désormais, ne guérit rien. Le temps n’est qu’une fenêtre par laquelle on peut voir ses erreurs, car ce sont semble-t-il les seules choses dont on se souvient clairement.
Lorsque tu aimes vraiment quelqu’un, aucune forteresse n’est imprenable.
l existe toujours entre deux êtres, si unis soient-ils, un abîme, sur lequel l’amour […] ne peut que jeter une fragile passerelle.
« Pour rouler au hasard, il faut être seul. Dès qu’on est deux, on va toujours quelque part. »